Communiqué de Presse
le 18 novembre 2025
Ce lundi soir, Camille Galtier, maire de Manosque, a participé à une réunion restreinte à l’Élysée dans le cadre de « Choose France ».
Aux côtés d’une délégation de 20 maires, Camille Galtier a été reçu par le Président de la République pour un échange direct consacré à la réindustrialisation du pays et aux difficultés rencontrées par les entrepreneurs dans les territoires. Au nom de Manosque, de DLVAgglo et du département des Alpes-de-Haute-Provence, il a exposé la réalité quotidienne que les acteurs économiques partagent avec lui depuis plusieurs années.
Il a notamment mis en avant :
- des problématiques fiscales pénalisantes pour les communes industrielles, qui fragilisent leur capacité d’investissement
- le découragement croissant des entrepreneurs, confrontés à la complexité administrative et à des procédures souvent interminables
- la multiplication de collectifs « anti-tout », prônant la décroissance et s’opposant systématiquement à des projets pourtant structurants, au détriment du développement économique et durable
- la perte d’envie d’entreprendre chez une partie de la jeunesse, découragée par les discours de confiscation fiscale prônés par certains partis.
Face au Président de la République, Camille Galtier a défendu l’énergie d’un territoire qui investit, innove et prend des risques :
« J’ai porté la voix de nos entrepreneurs, de nos industriels, de nos artisans, de celles et ceux qui créent de la valeur et de l’emploi. Nos territoires ont besoin d’un cadre clair, stable et lisible. Ils ont surtout besoin d’un État partenaire qui accompagne au lieu de freiner.
« La réindustrialisation n’est pas un slogan, mais une nécessité stratégique pour l’avenir du pays. Nous devons redevenir un pays qui produit et qui exporte. C’est la condition de notre souveraineté, de notre attractivité et de la réussite de nos territoires.
« J’ai défendu Manosque, notre Agglomération et notre Département des Alpes-de-Haute-Provence. Et j’ai défendu celles et ceux qui entreprennent. Parce que c’est sur le terrain que tout commence, et c’est grâce à nos entreprises que tout avance. »